Avril Thompson. => End

{ F I C H E _ D ' I D E N T I T E


Nom : Thompson
Prénom : Avril
Âge : 17 ans
Groupe : Evil
Personnalité sur l'avatar : Mary-Kate Olsen
Votre personnage est-il dans les postes vacants ? (si oui, avez-vous modifié son nom et quel était l'initial ?) Oui, mais non je n'ai rien modifié.

{ M O R E


Description psychologique : Avril est une jeune fille instable, bien que seine d'esprit elle aime faire souffrir les gens. Son plus grand jeu depuis qu'elle a découvert son pouvoir est de charmer, fasciner, que ce soit filles ou garçons, puis de torturer. Ses amours sont des amours vache, mais c'est sa seule façon d'aimer, un peu masochiste, mais heureusement pour elle, elle ne s'en rend pas compte. Pour elle, aimer et signe de souffrance. Peut-être trouveras-t-elle l'amour ? Peut-être qu'elle changeras, peut-être qu'elle ne sera pas un démon jusqu'à ce que mort s'en suive... Rien n'est jamais sûr, ne vous laissez pas corrompre par son charme, fermer les yeux, ne respirez plus et alors que peut-être vous survivrez...

Histoire :

Commencement.

Arinna et Edward Thompson c'étaient rencontrés lors d'une soirée, ça avait été le coup-de-foudre, ils avaient vécu le grand bonheur avant que leur fille Avril vienne au monde, tout deux s'étant mariés très jeune, ils crurent que leur amour durerait toute leur vie. Ils ne voyaient pas de problèmes à leur relation, Edward Thompson patron d'une grande industrie d'énergie et Arinna Thompson, femme au foyer. Ils étaient heureux et malheureusement le bonheur ne se décrit pas, les yeux dans les yeux, la main dans la main, vivant d'amour et d'eau fraîche, voyez-vous nous tombons vite dans les clichés. Bref, un jour qui aurait dû cependant être comme les autres ne le fut pas.
Arinna, toute heureuse d'annoncer la nouvelle qui lui brulait la gorge depuis quelques heures, ne put retenir ses élans d'allégresse en invitant toutes ses voisines à prendre le thé pour leur apprendre la nouvelle.

Arinna avait rendez-vous avec son docteur ce matin-là pour des nausées et évanouissements. Bien-sûr elle n'en avait touché mots à son mari, celui-ci l'aurait expédiée de suite à l'hôpital.
- Mme Thompson, je crois que vous n'avez pas bien cernée le problème qui vous incombe. Le docteur avait l'air soucieux et... amusé ?
- Je ne vois pas de quoi vous voulez parler, vraiment. Arinna, maintenant bien plus soucieuse qu'auparavant se demandant qu'est-ce qu'elle avait bien pu attraper, pourtant elle avait beau réfléchir, non rien.
- Allons Mme Thompson, nausées, vomissements, vous n'avez pas non plus remarquée un petit retard dans votre cycle menstruelle ?
La surprise fut telle que notre futur maman sursautait, elle faillit perdre l'équilibre lorsqu'elle se leva, tellement elle n'y avait pas pensée. La surprise céda à la joie, plus rien au monde ne comptait à ses yeux. Elle aurait voulu l'annoncer à son mari, mais elle ne voulait pas l'alarmer en allant dans son bureau.

Alors qu'Arinna parler avec ses amies de biberons, couche culotte, peluche, rose ou bleu, son mari rentrait du travail, Edward entendait les femmes rirent et il décida d'écouter un peu pour savoir de quoi elles parlaient. Elles riaient de bons coeurs et voulaient absolument lui faire une petite party pour fêter le bébé à naitre.
- Bébé ? A naître ? Party ? Edward n'avait vu aucune de ses voisines prêtes à avoir un enfant. Ha, les enfants, il n'aimait pas ça et heureusement sa femme ne lui en avait pas parlé, il se trouvait parfaitement heureux rien que tous les deux. Pas besoin de pleurs, de cris et autres désagréments.
- Bonsoir chérie. Alors, je viens d'entendre qu'il va y avoir un nouveau venu dans le quartier. Qui est donc l'heureuse maman ?
Edward avait dit ça sur un ton qui exprimait de la joie et de la gaité alors qu'il ne souhaitait qu'une seule chose se retrouver seul avec sa femme, au calme. Toutes les dames se mirent à rires, plutôt à glousser et leurs yeux se fixèrent sur Edward. Il éprouvait un grand malaise d'être ainsi observé, Arinna se leva, le visage rayonnant, les yeux brillants, ses mains se portèrent sur son ventre. Edward n'en crut pas ses yeux, il crut être dans un rêve, non un cauchemar, jusque là son visage n'exprimer que de l'angoisse et un masque d'horreur se fixa sur celui-ci.
- C'est moi, Edward, qui vais être l'heureuse maman et toi un heureux papa !
Les secondes s'écoulèrent et Edward n'avait pu décrocher un mot, le silence qui régnait devînt pesant, presque insupportable, le visage rayonnant d'Arinna se décomposait au fil du temps, laissant place à une angoisse forte et inattendu. Sans un bruit les voisines du couple regagnèrent la sortie, laissant les deux jeunes gens immobiles.
Les années s'écoulèrent et Edward ne supportait toujours pas les enfants, il n'était jamais avec Arinna, la laissant s'occuper totalement d'Avril.

Le debut de la fin.

- Papa, papa ! Pourquoi tu pars ?
Une petite fille, âgée de quatre ans, voyait son père pour la dernière fois de sa vie, mais elle ne le savait pas encore. Ses frêles épaules, ses longs cheveux blond, ses grands yeux d'un bleu limpide. La petite, si douce et si gentille faisait face à un chamboulement énorme qui malheureusement ne tournerait pas en sa faveur. Tout dépend cependant de quel côté on se met.
Les épaules carré, un long manteau noir, un sac de voyage, le tout dans la pénombre. Avril ne pu discerner le visage de son père, ses traits étaient durci par le soleil couchant, la voie de soprano de notre petite Avril paraissait déplacée dans cette maison sordide ou l'amour d'un père venait de déserter, laissant place à un vide immense dans le coeur de la petite, il ne répondit pas, ne l'embrassa pas une dernière fois, tournant les talons à sa vie de famille, il laissait dans le désespoir deux âmes qui bientôt, seraient corrompu, l'une par le chagrin et la souffrance et l'autre par la violence et la folie. Arinna ne se remettra jamais du départ de son mari, qui sans aucun doute, était parti à cause de notre petite demoiselle, cependant Arinna aimait sa fille plus que tout, elle la considérait comme le fruit de son amour, elle en était presque à croire qu'elle l'avait conçu toute seule, oubliant les belles années avec Edward, Arinna n'expliqua jamais pourquoi il était parti à sa fille car elle-même ne voulait pas affronter la réalité, elle ne l'avait jamais dit et jamais penser et surtout elle ne voulait pas faire souffrir la petite.

Le pouvoir.

- Je t'interdis de sortir Avril tu m'entends ?
- Si Papa était là, il me laisserait sortir, lui. Les yeux remplis de larmes, Avril n'arrivait jamais à se faire à l'idée que sa mère ne lui laissait pas faire se qu'elle veut. Ses copines, elles, avaient le droit de faire ce qu'elles voulaient, le pire, c'est qu'elles aivaient leur père à la maison.
Avril avait donc 15 ans et elle n'était pas la jeune fille la plus facile à vivre. Sa mère ne lui avait jamais raconté pourquoi son père était partit et elle la tenait pour responsable. Cependant, malgré les interdictions de sa mère la jeune fille avait une espèce de contrôle sur celle-ci.
- Maman, fit-elle les yeux papillonnant cernés de noir. Tu sais que je ne rentrerais pas tard et puis tu peux avoir confiance, non ? Sa voix veloutée, son regard envoutant, elle déployait avec sa mère tout son charme, elle voulait sortir, elle en avait le besoin, comme si au dehors une chose puissante l'appeler. Sa mère clignait des yeux, comme si elle ne réussissait pas vraiment à comprendre ce qui lui arrivait.
- Heu, je ne sais pas trop Avril, tu es déjà sortis hier soir ... La voix celle-ci se brisa devant le charme certain de sa fille.
- Ne t'inquiète pas pour moi maman, d'ailleurs tu as l'air fatigué tu devrais peut-être aller te coucher, non ?
- Oui oui certainement, une bonne nuit de sommeil m'aiderais à récupérer. Surtout tu ne rentres pas tard !

Avril était déjà partit avant que sa mère finisse sa phrase. La jeune fille n'était pas consciente du pouvoir qu'elle avait, bien évidemment, déjà manipulatrice depuis sa plus tendre enfance elle usait de son charme pour avoir ce qu'elle voulait. Un marchand de glace croisait son regard, quelques instants plus tard, il lui donnait un glace sans qu'elle n'est à débourser le moindre sous.

Une fois dehors, Avril se baladait dans les rues, elle ne savait pas trop pourquoi elle était là, son instinct l'avait poussée à sortir, elle n'avait pas peur du noir, elle n'avait pas peur des gens, elle se demandait toujours pourquoi certaine personne la regardée comme si c'était un dieu, comme si elle les fascinait.

En trainant dans un jardin public, Avril sentit un souffle dans son coup, elle se retournait brusquement, un homme, non un jeune homme se tenait à quelques pouces de son visage. Notre belle jeune fille allait pousser un cri quand le jeune homme en question posa sa main glacée sur la bouche d'Avril, il puait l'alcool, ses membres ne lui appartenaient presque plus, tout en gardant fermement Avril en main il faillit l'emporter dans sa chute deux fois. Avril essayait de se dégager tant bien que mal, la peur laissa place à la panique puis à la colère et enfin au désir. Elle éprouvait un désir malsain d'être ainsi la victime d'un homme, mais être la victime ne la satisfaisait pas complètement, il fallait qu'elle soit le maître, elle se dégagea une main qu'elle déposait sur le visage de son agresseur, apparemment il ne croyait pas à sa bonne fortune, ses yeux prirent une nouvelle lueur, de la fascination irradiait de ses prunelles. Cette fois Avril ne fut pas déstabilisée elle en éprouvait même un désir malsain d'être ainsi admirée. L'homme ne la tenait plus. Au lieu de s'enfuir comme l'aurait fait n'importe quelle jeune fille, Avril caressait le visage de son agresseur, plantant ses prunelles dans les siennes, une aura de folie l'enveloppait tout entière, elle ne se contrôlait plus vraiment, l'homme complètement soûl et sous l'influence de notre belle jeune fille ne se dérida pas lorsque celle-ci lui enfonçait ses ongles dans la peau de son coup. Il n'y avait eu aucun bruit, pas un cri, alors qu'Avril découvrait le plaisir du sang. Cependant elle ne le tuait pas, la raison lui revînt, elle lachait donc prise. L'homme la regardait avec un accent de panique dans les yeux. Dés qu'elle le lâcha, il s'enfuit.


Tu n'es pas rentrée tard hier soir, mon ange ?
Il était huit heures du matin, Avril n'avait pas dormi de la nuit, pensant encore et encore à ce qui c'était passé cette nuit là. Elle ne répondit pas à sa mère.
- Pourquoi est-ce qu'il est partit ? Tout les matins c'était la même rengaine, elle demandait, encore et encore. Comme d'habitude sa mère blanchit, un masque de souffrance traversa son visage. Malgrés elle, Avril ravivait le souvenir de son père dans la mémoire de sa mère, ce qui ne rendait pas les choses facile pour celle-ci.


Avril avait, toute la journée pensée, elle devait partir, elle avait découvert un fait. Elle n'était pas comme tout le monde.
- Je dois partir, tout ira bien maman, ne t'en fais pas pour moi.
Les yeux d'Avril brillait d'excitation, la nuit dernière était une sorte de révélation, le sang sous ses doigts froids et doux, la couleur, le besoin encore et toujours plus, l'envie de détruire une vie. L'homme qui ne pouvait pas s'échapper, ses yeux fixaient dans les siens, elle avait ressenti son pouvoir, elle avait ce pouvoir. Elle fascinait les gens, elle n'avait jamais comprit, mais maintenant elle voulait exercer son art, elle en voulait encore, encore plus. En passant directement dans sa chambre Avril avait rusée, elle allait d'abord faire ses bagages, puis descendre et là elle fascinerait sa mère. Simple un jeu d'enfant. Elle était tellement excitée qu'elle sentait son pouvoir par vague dans son corps, elle se sentait irradier. Sa mère n'esquissa pas un geste, elle ne clignait même pas des yeux.

Avril contempla sa maison, sa rue, une dernière fois et partit, le sourire aux lèvres, sa nouvelle vie commençait.





Métier ou études : Etudiante dans une école d'Art.

Quel est votre pouvoir : Charisme, Fascination des personnes à mon égard
Quelles sont ses limites (indiquées dans le répertoire) : Une seule personne à la fois.

Points pouvant être développés dans le RPG : La fascination de plusieurs personnes en même temps ?

{ V O U S

Prénom ou pseudo : Ophélie
Age : 17 ans
Disponibilités : Moyenne
Comment avez vous connu le forum ? : Par un top-site
Autres : J'aime beaucoup l'histoire et le design.

Bienvenue à toi Avril ! =D
On y croyait plus, à ce que de nouvelles tête tombent arrivent ! XDD
C'est vrai qu'on ne sera pas très présentes pendant les 3 jours qui arrivent ;
Chloe, Alice et moi même ; mais nous sommes là !
Bon courage pour le reste de ta fiche . ^^

merci ^^.
Je vais finir ma fiche au plus vite pour pouvoir commencer les Rp.
3 jours, pas grave je pense que personne ne peut vous en vouloir car moi-même je risque de ne pas être très présente.

Tadam.
Terminer.

Voilas, j'espere que ça vous ira.

merci ^^