Kate Light | [100 % ]

{ F I C H E _ D ' I D E N T I T E
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Nom : Light.
Prénom : Katerina Tala, mais dites Kate, c’est plus simple.
Âge : 23 ans. Quoi ?! Je suis encore jeune non mais !
Groupe :Neutral. J’ai un bon fond, mais j’aime faire la « méchante » à mes heures. Et surtout, j’aime avoir le choix.
Personnalité sur l'avatar : Kate Beckinsale.
Votre personnage est-il dans les postes vacants ? Affirmatif, empruntée à la voyelle près.

{ M O R E
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Description psychologique :
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Rapport N°24359 Daté du 12 Juin 3040
Traitant : Docteur Milena Harper.
Dossier : 0033M – KL.
Statut : Contact.
Patient : Katerina T. Light.

Rapport d’entretien : Première séance avec l’enfant. La prise de contact a été dure, mais je suis tout de même parvenue à lui faire dire quelques mots avant la fin de la séance : « Blanc comme la neige. »
Son esprit est resté fixé sur un détail de l’accident, réflexe de défense étonnamment mur pour son âge. Les événements tragiques de la semaine dernière sont encore trop vifs pour qu’elle les ait acceptés pleinement, et une aide psychologique s’impose.
Je vais contacter son médecin traitant et lui soumettre ma réponse au sujet de l’enfant : Je la prendrai en consultation deux fois par semaines durant les prochains mois.

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Rapport N°24375 Daté du 3 Février 3041
Traitant : Docteur Milena Harper.
Dossier : 0033M – KL.
Statut : Traitement.
Patient : Katerina T. Light.

Rapport d’entretien : Katerina se remet beaucoup plus vite du choc que je ne l’aurai cru. Ses cauchemars sont toujours présents, mais de moins en moins violents et j’ai bon espoir qu’elle puisse recouvrer une vie normale d’ici un mois où deux.
J’ai quelques inquiétudes cependant face à ses sautes d’humeurs. Elle perd parfois le fil de ses réflexions et reviens péniblement à la réalité.

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Extrait du journal intime du Dr Milena Harper daté du 27 Décembre 3041

Aujourd’hui s’est passé un évènement curieux. La petite Kate venait de sortir de sa séance habituelle, lorsqu’elle a rebroussé chemin et est venue se poster tout près de moi. Elle m’a souris, chose que je ne lui avais vu faire que deux ou trois fois depuis presque un an que je la connais. Elle a déposée devant moi un petit objet emballé de papier brillant argenté et m’a dit que c’était mon cadeau de Noël. Qu’elle n’avait pas bien eu le temps de le terminer comme elle voulait, mais que je devais l’avoir le plus vite possible. Lorsque je lui ai demandé pourquoi, elle m’a répondu une chose qui m’a secoué plus que je n’aurai cru : « Vous étiez triste. »
Et elle m’a lancé un autre sourire. Je ne sais ce qui m’a le plus perturbé, le fait qu’elle m’ai souris deux fois dans la même journée, qu’elle m’ai offert un cadeau ou qu’une enfant d’à peine 7 ans ai vue ma tristesse.
Je ne prétends pas être une spécialiste de l’enfance, loin de là, mon domaine est la psychiatrie clinique. Et je suis considéré par mes confrères comme un véritable glaçon, on peut me parler, mais on ne peut pas discerner la moindre émotion venant de moi. Plus d’un s’en est indigné lorsque j’ai choisie Kate comme patiente, ils craignaient que je n’empire les choses, car le fait qu’elle soit la première enfant dans mes « états de service » ne signifie en rien que j’ai changée quoi que se soit à mes méthodes.
Depuis des années je cache la peine que me procure le souvenir de la mort d’Emilie, et personne n’a jamais rien perçu. Sauf Kate. Elle n’avait aucun moyen de savoir…
J’avoue avoir eu un frisson de peur lorsqu’elle a prononcé cette phrase, je suis restée immobile sous le choc pendant un moment. Elle m’a regardé avec inquiétude et s’est mise à se tripoter les mains avant de demander : « Vous ne le voulez pas. » On aurait tellement dit ma fille que je n’ai pu m’empêcher de lui sourire à mon tour. Les mêmes mimiques…

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Rapport N°24456 Daté du 19 Aout 3043
Traitant : Docteur Milena Harper.
Dossier : 0033M – KL.
Statut : Suivi.
Patient : Katerina T. Light.

Rapport d’entretien : Kate me semble plus saine que jamais, lors de sa séance d’aujourd’hui elle a été d’une volubilité sans pareille, sa joie vraiment contagieuse. Elle est d’une grande douceur, bien que parfois manquant un peu de diplomatie. Elle a toujours des sautes d’humeurs imprévisibles, mais je les pense faire partie intégrante de son caractère, c’est pourquoi j’annonce que son traitement se terminera à compter de la fin du mois en cours.
Il ne tiendra qu’à mon successeur d’en juger par lui-même si la teneur de mes propos pouvait être remise en question. Je souhaite que le dossier de Katerina Light soit passé à un de mes collègues, mon impartialité face au patient étant faiblissante. Je me suis trop rapprochée et attachée pour que mes jugements puissent être objectifs et de nature à être positifs pour Kate.

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Extrait du journal intime du Dr Milena Harper daté du 8 Septembre 3054

Je ne croyais jamais dire ça de ma vie mais, bon sang, que je hais la psychologie. Kate vient de commencer ses études et elle n’a de cesse de me harceler pour avoir des détails sur son cours. J’étais fière au départ qu’elle prenne cette voie grâce à moi, mais pas au point qu’elle me réveille à trois heures du matin pour savoir si les théories de Kant étaient vraiment digne de confiance ! Je suppose que cela va passer avec le temps. [s]J’espère[/s] que ça va passer avec le temps.
Malgré tout je suis si fière d’elle. Elle est d’une complexité rare, même pour moi, et elle trouve chaque jour le moyen de me surprendre un peu plus. Le fait que son irritabilité soit associé à de la timidité, par exemple, reste pour moi quelque chose de vraiment comique. Sans parler de son humeur qui peut varier du tout au tout en quelques secondes sans raisons.
C’est ce qui fait son charme…

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Extrait du formulaire B52 : « Notifications » - 12 Novembre 3054
Patient : Katerina T. Light.
Dossier : 0033M – KL.

La logique voudrait qu’avant d’interroger un patient sur sa santé mentale, on se pose cette unique et simple réflexion : « Ne pourrais on pas simplement lui lâcher les baskets ? ». On ne demande pas à quelqu’un s’il est fou, puisque de toute manière il répondra : « Je suis tout à fait sain d’esprit. » Donc, je vous le dis : « Je suis tout à fait saine d’esprit ! »… La plupart du temps. Je l’avoue, j’ai des sautes d’humeur, de mauvaises habitudes alimentaires et une aversion toute particulière pour l’autorité. Maintenant, je suis certainement capable de vous trouver au moins 20 personnes dans le même cas.
Oublions les banalités d’usage. J’ai une vie sociale, des amies, un travail et même un projet d’avenir.
Ne pensez-vous pas que j’ai le droit d’y goûter… sans vous ?

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Histoire :




Ma mère faisait partie de l’organisation appelée Geno et n’adhérait pas à leurs valeurs… Mauvais calcul.
Ce qui ne l’a pas empêchée d’obéir aux ordres, ne me demandez pas lesquels, ce genre d’entreprise n’offre pas une transparence sans faille. Passons. A l’époque qui nous intéresse j’avais 6 ans, et les souvenirs des jours précédent l’accident sont plutôt flous dans ma mémoire, en revanche l’accident lui-même… Je crois qu’il ne se décidera jamais à sortir de ma tête.

Mes parents m’avaient emmenés chez des amis pour dîner, nous rentrions chez nous. Le hasard voulu que ce soir là, il y eu une accalmie dans les pluies diluviennes qui ne cessaient de tomber depuis trois jours. Nous étions au milieu de nulle part, n’ayant croisés personnes depuis un bon moment. Lorsque elle se retrouva juste derrière nous. Une voiture d’un blanc immaculé. A moitié assoupie sur la banquette arrière, j’ai entrouvert les yeux à cause de la lueur des phares et l’ai aperçue. Juste un instant. J’ai crue qu’il était en train de neiger. C’est quand le choc est venu que je me suis totalement éveillée.

Notre voiture a commencée à faire des tonneaux. Le souffle coupé par la ceinture de sécurité, je ne comprenais pas ce qui était en train de se passer. Impossible de s’arrêter, la pente nous entraînait. Et tout d’un coup l’arrêt brusque. Je me suis mise à pleurer, en appelant mes parents inconscients. J’ai alors jetée un coup d’œil à l’extérieur, mais je ne voyais que l’obscurité. Opaque. Beaucoup trop noire pour une nuit claire. En vérité je ne dois ma survie qu’à mon père. Même après un violent choc à la tête, il a réussi à me dégager de la ceinture de sécurité et à me pousser vers ce qui autrefois était le pare brise avant.
-« Vas-y ma belle, je réveille maman et je te rejoins, attend nous au bord. Tout vas bien. »
Quels genres de stupidités sont capables de dire les parents à leurs enfants lorsque tout va mal ! Ironiquement, c’est le fait de voir la panique sur ses traits, démentant ses paroles, qui m’a poussée à bouger.
-« Allez, nage ! »
Et il me poussa hors de l’habitacle. Au moment où je prenais conscience de ses paroles l’eau glacée se referma autour de moi.

Oh, j’ai réussie à m’en sortir bien sûr, sinon je ne serais pas en train de vous parler. Dans mon souvenir c’était un petit lac, mais en fait ça ne devait guère être plus qu’un étang. Mon père n’a jamais réussi à sortir ma mère de l’habitacle. Lorsque la voiture s’est mise à couler, il a été plaqué à l’arrière par la pression de l’eau entrant par le pare brise. Je pense que ma mère était déjà morte. Je l’espère en tout cas, inutile d’avoir deux tués par noyade dans la même famille. Quand à moi j’ai attendue bien une journée avant que quelqu’un ne passe et ne me trouve perdue au bord de la route.
Je vous parais froide ? Peut-être. De cette nuit là, je conserve tout de même une peur panique du noir.

Ne me laissez jamais seule dans les ténèbres, parce que j’ignore comment je pourrais en sortir…




Après ça, j’ai été prise en charge. Et j’ai vécue à peu près normalement jusqu’à mes 19 ans. J’avais un job, des études à la fac, et même des amies. Je les aie toujours d’ailleurs. Je n’ai pas encore compris comment elles arrivent à me supporter ! Le deuxième événement marquant de ma vie débute donc là, et croyez moi quand je vous dis que c’est certainement le plus douloureux de tous.

En fait, j’ai des migraines. Pas beaucoup, mais… suffisamment. De quoi vous rendre passablement irritable quand un néophyte se croit capable de commander « juste un café » précisément à votre caisse au Starbucks. Mais bon sang, c’est quoi « juste un café » ?! Bref, en soit, ces migraines pourraient être supportables, mais elles ne font pas que passer. Non, non. Elles s’installent, se multiplient, et un jour… Pouf ! J’ai un boulon qui n’est plus à sa place si vous me passez l’expression.

La première fois que ça m’est arrivé, je venais de passer la journée comme dans un rêve. Impossible de me concentrer. J’étais un train de rentrer chez moi, sans prêter la moindre attention à la pluie qui gouttait dans mes cheveux, jusque dans mon dos. Quand j’y repense, je devais vraiment avoir la tête d’un épouvantail. Et à ce moment là, le tonnerre a éclaté. Je ne saurais pas dire si cela a provoqué ma crise, mais ça a joué. Comme si un paralytique avec une clé de douze s’amusait à me faire une biopsie. J’étais incapable d’aligner deux pensés cohérentes.

J’ai continué à marcher, mécaniquement et en titubant, jusqu’à mon immeuble. Devant la grande porte vitrée, j’ai mis au moins 2 bonnes minutes avant de me rappeler qu’il me fallait une clé. Et encore 3 pour penser à regarder dans mon sac. Qui n’a pas été très coopératif ce jour là, et s’est répandu avec tout son contenu sur le sol. C’est à ce moment là que j’ai abandonné. Je me suis affalée le long du mur jusqu’au sol et j’ai gardé ma tête entre mes mains. Vous savez ce réflexe humain, certes, mais totalement inutile que vous avez lorsqu’une douleur ne vous est pas accessible.

C’est deux heures plus tard seulement que j’ai repris connaissance.

Après avoir parlé des épisodes les moins reluisants de ma vie, je voulais vous parler de celui qui reste le plus important : Mon premier cours de Parapsychologie. J’avais choisie cette matière hors de mon cursus normal, he bien… tout d’abord par curiosité. C’est vrai, beaucoup des autres professeurs en donnaient une image assez négative, au mieux, ils l’ignoraient ! Mais les étudiants eux ne tarissaient pas d’éloges sur les cours et sur son prof. Vous savez ce que c’est, on suit toujours la voie de ceux qui nous comprennent.

Je me dirigeais donc vers l’amphithéâtre réservé aux cours « d’une matière qui ne mérite même pas d’être enseignée », lorsque, dans un couloir plus fréquenté qu’un hall de gare à heure de pointe, je me fit bousculer par un sinistre inconnu permettant ainsi à mes cours de la journée de se répandre sur le sol. Où d’autres sinistres inconnus s’empressèrent de marcher. Me voilà donc à quatre pattes en train de ramasser les précieux feuillets, lorsque je tombe nez à nez avec les yeux les plus bleus que j’ai jamais vus. Et reliés à un corps à damner un saint en plus ! J’étais encore en train de me demander si je ne manquais pas un peu de sommeil pour imaginer l’homme idéal devant moi, lorsqu’il se mit à parler.

- « Salut, c’est à toi tout ça ? »
- « Oui. Je ne me suis pas encore faite aux heures d’affluence. »
- « Ah, je vois: Nouvelle. »
- « Encore gagné. J’essayais désespérément d’arriver à l’heure au cours de Parapsychologie, mais maintenant c’est raté. »
- « Oh ne t’inquiète pas pour ça, le prof lui-même n’est jamais à l’heure. »
- « Tu le connais ? Tout le monde dit qu’il est spécial. »
Il eu un petit sourire imperceptible, qui me fit frissonner : ça ne devrait pas être permis d’être aussi sexy !
- « Et toi, qu’est ce que tu en pense … ? »
- « Kate, je m’appelle Kate. »
Nous avions ramassés tout mes cours, et nous sommes relevés en même temps. Il attendait ma réponse en me tendant les dernières feuilles.
- « J’aime ce qui est spécial, et en général, je ne me fie jamais aux idées reçues. »
Je récupérais mon bien en espérant prolonger le moment.
- « Bonne réponse. »
Et il s’éloigna un sourire énigmatique aux lèvres.

Je suis sûre que vous avez déjà compris. Et bien, à cet instant moi pas ! En arrivant enfin à mon cours cinq minutes après, la tête toujours dans le couloir, toujours pas. Il ne pouvait y avoir message plus clair que lorsque je vis mon inconnu aux yeux bleus, assis sur le bureau de l’estrade. Là j’ai compris: c'était Alex St John, mon professeur de Parapsychologie. Il avait déjà commencé son cours et me fit un sourire en me voyant apparaître. Me maudissant intérieurement, je pris soin de m’installer le plus discrètement possible.

- « La Parapsychologie n’est pas une science. C’est un regroupement fait par des hommes de sciences de tout ce qu’ils ne pouvaient expliquer. Et ça les arrangeait bien ! En venant ici, il faut que vous ayez une autre manière de penser. Ne tenez jamais rien pour acquis. Pour faire simple, ne vous fiez jamais aux idées reçues. »
En entendant ces mots, j’ai vivement relevé la tête, pour le voir me faire un clin d’oeil. J’ai failli faire une attaque. Mais tout n’est pas rose au pays des paranos. Le fait qu’un prof aussi convoité, fasse un signe aussi recherché par ses groupies qu’une souris par un chat gourmand, à une simple élève de premier cycle… Eh bien, disons que ça, plus mes joues rougissantes n’ont pas aidées à augmenter ma cote de popularité auprès d’elles.

Mais vous voulez que je vous dise. A cette seconde ça m’était totalement égal…


Métier ou études : J’ai un job de serveuse dans un Starbucks pour payer mes études, ce qui me permet un accès illimité à toute la caféine de la terre ! J’en ai besoin pour suivre des cours aussi ennuyeux que ceux du prof de sciences du développement. Une matière qui ne m’a de toute façon jamais passionnée. Pour le reste je m’amuse comme une folle ! La fac de Psycho de New York est un vrai repère de cinglés !

Quel est votre pouvoir : Empathie (inconnu du perso pour l’instant, même si elle sait qu’il se passe quelque chose de bizarre).

Quelles sont ses limites (indiquées dans le répertoire) : Elle ne sait pas encore le contrôler, ce qui fatigue énormément son cerveau qui ne sait pas comment gérer ça.
Kate a des sautes d’humeurs imprévisibles et passagères, ce qui la met parfois dans des situations désopilantes et… gênantes. Mais ses amis en on pris l’habitude et mettent ces extravagances sur le compte de son caractère lunatique. Elle n’en a pas conscience, mais les émotions qu’elle ressent des personnes alentours, influent sur son propre état d’esprit.
C’est la partie positive de son don, celle avec laquelle elle pourrait facilement coexister. Malheureusement, cela ne s’arrête pas là. De temps en temps, il lui arrive d’avoir de forts maux de tête, pendant une période variable de une ou deux semaines, à la suite de quoi une crise se déclenche. Pendant une crise ses maux de tête originaux passent pour de la rigolade. Impossible pour elle de faire quoi que ce soit, d’où arrêt des cours, du travail et de la vie sociale dans la seconde. En général, tout reviens à la normale 2 ou 3 heures après..
Points pouvant être développés dans le RPG :Ses ami(e)s (ses amours, ses emmerdes ♪) - La découverte et l’apprentissage de son pouvoir – Son prof de Parapsychologie à la faaaaaaaaaaaac *tombe de la chaise* :3 *remonte sur la chaise* - Ce qui pourra bien me passer par la tête…

{ V O U S
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Prénom ou pseudo : Sorwen ou Mina.
Age : 18 ans (et ouais enfin ! Nananèreuuuuuu !)
Disponibilités : Ouaip, bon ben… Je dirais 3 jours sur 7 *pas taper, pas taper*.
Comment avez vous connu le forum ? : J’me suis incrustée pour être avec ma coupine !
Autres : La reproduction des grenouilles en Australie influe sur le cours du Dow Jones. ©

Merci, merci, pour ces signes d'encouragements...

J'ai pratiquement fini, plus qu'un petit paragraphe et le tour est joué !

Concentration

Sorry pour le double post, mais je m'assume et accepte les conséquences de mes actes


Pipidi Mobidi Bouh :fall: C'est terminou...

J'adoooooore.
J'avais hâte de voir la troisième partie de ton histoire ; et je ne suis pas déçue.
C'est trop bien. Je veux le voir en vrai, je veux !
C'est tellement... Toi. x)


P.S : Ta signature est...

Ouais !!! Ben chui contente alors, chui contente, j'ai réussie à la finir toute seule et en plus elle est bien, chui contente (je me répète là ...)

Et je suis aussi contente pour la signature, c'est du fait maison. Pour une fois que je me débrouille toute seule ! Après il n'y aura plus qu'à change l'avatar. ^^

Yep, chui contente

Merci, merci !

Rhooooooooooo, il y a la petite barre... Ouais ! Merchi !

POMPOMPIDOU POWA !!!

Je viens de finir ta présentation, j'ai eu l'impression de lire le résumé d'un très bon livre comme si le résumé en était lui-même des pages égarées :p.

Bienvenue à toi.

Merchi ...

Je ne regrette pas d'avoir mis trente ans à poster alors ^^ !