Alice Apsene
` lucifer is a woman || ADMIN
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Etat d'esprit du perso : Désemparée
Date d'inscription : 07/09/2008
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 |  Sujet: Alice Apsene | Une place pour vous, et moi ?  Mar 4 Nov - 21:23 | |
| - Pourrais-tu m'aimer, même en secret ? -  Je n'en peux plus. - Qui suis-je ? - Donnez moi ma vie.
- Moi par vous :
- Vous ne savez pas qui je suis, seulement vous vous doutez de qui je peux être. Pour vous je suis froide, distante, arrogante et sans doute manipulatrice. Il y a du vrai. Mais je vais compléter votre liste. Je suis une menteuse, je n'aime pas mentir par plaisir, mon "travail" m'y oblige. Je suis belle peut-être, vos langues corrompues diront que c'est un camouflage pour vous apprivoisez, ensuite vous mordre. Je n'ai pas beaucoup de centre d'intérêt si ce n'est celui de vivre, puis de mourir. Là vous allez surement vous dire : tout le monde veut vivre et mourir. Certainement, mais il a des choses dans ce monde qui m'oblige plus que quiconque à l'être. Certaines des plus horribles, bien plus froide que moi. Je les connais. Je ne tien pas à vous les montrer. Vous m'obligeriez à vous tuer pour ne pas que vous en souffriez. Si je n'ai jamais su décrire correctement mes sentiments vous, oui vous, vous me nommez "sans cœur". Si c'est ce que vous pensez au plus profond de votre être alors c'est vrai. Il est mieux pour certains de croire aveuglément que de voir sans savoir. De l'amitié, j'en ai. A en revendre. Sur ce point là vous avez raison, la plupart ne sont que pauvre fantômes empalés sur leurs illusions. Ne vous faite pas soucis pour moi. Puis-je penser cela ? Vous vous préoccuperiez vraiment de moi ? J'ai le droit de le vouloir. Mon impression me dit qu'il n'y a pas plus de cinq personnes sur cette terre maudite qui tienne à moi, qui compte sur moi. Je ne les décevrais pas. Et si en ce moment même je viole cette promesse, je sais que c'est pour plus tard. Je pense à l'Avenir.
Vous n'avez rien à m'accuser. Alors, donnez-moi mon Paradis. Personne ne mérite d'aller aux Enfers. -
- Où es-tu ?
Pas ici.
- Toi :
~ Chloé : C'est toutes petites que notre amitié à commencé, à un âge où on ne savait pas vraiment ce que ça voulait dire. On s'est toujours tout dis, sans rien cacher, aucune censure était le mot d'ordre. C'est ce que nous avons fait jusqu'à ce que je rentre réellement dans la Géno et que l'on fasse ces expériences sur moi, jusqu'au jour où ils ont tué tes parents. Nous n'en avons pas parlé ouvertement mais je t'ai soutenue dans le silence. J'espère que tu t'en ais rendu compte. C'est tout ce que je peux t'offrir désormais, le silence. Il veut plus dire que mes mots mais tu ne le comprend pas, tu te pose des questions. Crois-moi, si je pouvais tout te dire je le ferais. Mais il faut te protéger tant que je peux, tant que j'en ais le pouvoir et la force. Je sais qu'un jour je serais obligée de te cracher la vérité sans artifices, la vérité toute nue. Ce jour-là je sais que tu m'en voudra. Peut-être que notre amitié s'évaporera, c'est pourquoi je recule un peu plus chaque jour l'échéance.
~ Ella : Je ne compte plus toutes ses journées que j'ai passé avec toi. Tu as été mon soutient dans les coups durs que la Géno nous assenait. C'est moi qui t'es obligée à y rentrer. Obliger n'est pas le bon mot - j'ai peut-être usé de manipulation et toi tu cherchais un abris - mais c'est tout comme. Même si tu ne m'en veux pas et que tu me remercie de ce je t'ai fais je tiens à m'excuser. Ils nous ont fais subir quelques expériences, nous sommes aujourd'hui dans le même lot. Il va falloir que l'on s'en sorte ensemble.[/font]
~ Isa : On s'est bien amusées étant petites. Je me rappelle encore ces longues heures où nous jouions ensembles avec Chloé nous moquant du reste du monde. Une bonne époque qui a disparut de mon champ de vision. Lorsque nous nous sommes séparées de vue je ne pensais pas qu'on se reverrait un jour. Je ne me suis fais aucun espoir jusqu'à ce jour où sans le savoir j'ai faillis te tuer. Tu es une des rares personnes qui m'ai connue avec ma véritable nature sans en mourir. Quand tu m'as dis ton nom mon sang n'a fait qu'un tour et je suis partie, presque en courant. J'avais honte de moi. Si jamais on se revoyait que penserais-tu de moi ?
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